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    Désolation

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    Date d'inscription : 17/03/2010

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    Message par Deserteaglenight Jeu 18 Mar - 21:26

    Voici les chapitres 1 et deux de mon livre, que je recommence a écrire grace au forum ! Enfin du déja vu pour ceux qui était sur l'ancien forum "manga 79" :

    Chapitre1
    Le début du cauchemar / la 101eme aéroportée


    Août 1944

    Les balles fusaient, les bombes explosaient, l’avion dans lequel je me trouvais avançait tant bien que mal au dessus des plaines françaises dévastées par cette chose affreuse qu’est la guerre. Premier combat au cotés des hommes qui avaient, comme moi tout laissé tomber pour s’engager dans l’armée américaine. Seul le cliquetis de nos ceintures sur nos sièges de métal se faisait entendre dans ce brouhaha. Soudain la voix de notre sergent retentit :
    _ Bon, on n’est pas la pour se faire trouer la peau, on est juste ici en reconnaissance, les armes ne devraient pas trinquer aujourd’hui. Alors je vous demanderais de rester groupés le temps de l’opération. Est-ce clair pour tout le monde ?
    Il n’obtenu aucune réponse et jugea que nous avions compris. L’atterrissage était prévu pour 1h35 à Saint -Lô.
    Quelques heures plus tard, le sergent ainsi que son second se leva nous demandant d’en faire autant. Quelques secousses nous déstabilisèrent, et nous foulions pour la première fois le sol français, malheureusement pas dans les circonstances que nous aurions souhaitées. Notre Dakota c’était posé dans une plaine entouré d’une immense forêt, nous descendirent de l’avion, chargés d’une pelle, d’un sac de survie et d’un appareil radio à distances, lorsque le sergent nous ordonna de courir tête baissé vers les fourrés. En effet un panzer allemand se dirigeait vers la plaine et, heureusement pour nous passa son chemin. Après cette frayeur de courte durée, nous nous activions a chercher un endroit convenable pour établir le camp, lorsque l’un de nous cria qu’il avait trouvé quelque chose. Effectivement, un camp de fortune avait déjà été installé. D’après les Thomson, les carcasses de radio, et les boites de conserve, semblable à celle que nous avions dans nos sac, nous en déduisions que cela était un campement allié abandonné, probablement à la fin de leur opération, comme nous allions le faire une fois notre mission achevée. Les jours passèrent, j’appris à connaitre mes compagnons en temps de guerres et les habitudes d’un soldat sur le terrain. Entraînements sur entraînement, exercices de tir ou encore patrouilles de reconnaissance, cette nouvelle vie était bien différente de celle que nous menions en Amérique, dans nos maisons, encore pour la plupart avec nos parents, mais, trop semblable à celle que nous menions dans le camp qui avait été dressé pour accueillir les jeunes qui faisaient leur service militaire .
    Un mois déjà c’est passé, le dakota qui allait nous ramener n’allait pas tarder. Le sergent Digs nous fit réunir dans le sous bois à l’abord d’un mur de pierre, ébréché par les éclats d’obus perdu. Aux aguets, tel un prédateur en attente d’une proie, nous guettions le ciel avec l’espoir d’apercevoir le Dakota qui nous ramènerait enfin en Angleterre, où toutes les garnisons alliés ainsi que les avions qui allait nous ramener chez nous afin de revoir nos chères familles, nous attendaient.
    Le temps était maussade et le ciel chargé de nuages, les bruits environnants c’étaient tuent. On aurait dit que la nature avait fuit la forêt. Les oiseaux ne chantait plus, les criquets, pourtant nombreux à cette heure, ne laissaient paraître aucun signe de vie, seul le vent dans les feuillages nous prouvait que le temps passait encore. Et tout d’un coups, un bruit de moteur! Le coeur battant les yeux levés au ciel et l’espoir vaillant, nous sortîms de notre tanière et coururent vers le champs qui me paraissait être le plus long que je n'avais jamais vus de toute ma vie.


    Chapitre 2
    La mort, déjà?

    Arrivés à peu près au milieu du champ, nous guettions la cime des arbres que le dakota devait franchir avant de ce posé non loin de nous. Le roulement chaotique d'un moteur s'approchait de notre position, il était maintenant tout proche de nous, mais pourquoi donc la silhouette d'acier de l'avion n'apparaissait pas? Soudain, un craquement de branche se fit entendre, les arbres cédaient sous le poids d'un panzer allemand, des cris retentirent, d'abord ceux de mon capitaine nous ordonnant de nous mettre à couvert dans les fossés creusés quelques jours auparavant, je ne pensais plus jamais les revoir ceux là ! Après les cris de mon capitaine, ce fut ceux du régiment allemand resté en arrière du panzer. Nous restions l'œil braqué sur le viseur de nos M1, la crosse greffée à notre l'épaule. Dans les arbustes, situés à une cinquantaine de mètre de nous, un régiment entier nous guettait, il ne bougeait pas ne disait mots. Mais pourquoi donc, ne nous attaquaient-ils pas? Ils étaient bien mieux armés et nombreux que notre petite patrouille de reconnaissance. Mon capitaine m'avait expliqué que le débarquement avait semé un certain doute sur la position des hommes parachutés comme nous l'avions été, ce qui justifiait une certaine réticence de la part des Bochs. Je me dégageais du buisson qui me servait de couverture, levais la tête au dessus de celui-ci, regardais si la voie était libre et alla prendre la position que mon capitaine m'avait ordonné de tenir durant le temps de la bataille. Tout d'un coup, alors que j’étais blottis contre le tronc d'un arbre, un crissement se fit entendre, c'était un frottement d'acier contre acier, le panzer dirigeait son canon vers le point où était retranché mon capitaine et son second. Je me mis à paniquer, je ne savais que faire crier à l'aide et dévoiler ainsi ma position aux allemands, ou bien regarder mon capitaine se faire descendre sous mes yeux sans qu'il puisse comprendre ce qui lui arrivait? Je décidais d'opter pour la première solution. Mais il était trop tard ! Le projectile était partit, je m'apprêtais à crier, mais à quoi cela aurait servi ? Je me jetais donc a plat ventre dans l'humus encor humide ou la rosé du matin c'était déposée. C'est à ce moment qu’un souffle d'air parvint jusqu'à moi, je fus quelque peux secoué malgré la distance à laquelle je me trouvais. Je me relevais, encor tous tremblant, je ne réalisais pas tout de suite que j'étais à découvert, ce n'est que quelques secondes après que je retrouvais mes esprits, et c'est à ce moment même que j’entendis crier :
    _ Infirmier !

    C'était la voix d'un de mes compagnons, je pensais qu'il était blessé. Je me disais donc qu'il était vivant et qu'il demeurait comme seul touché, c'est alors que j'entendis :
    _ Vous en faites pas capitaine! Le doc arrive !

    Ce n'était donc pas lui le blessé mais bien mon capitaine ! Mon sang ne fit qu'un tour, en une fraction de seconde je me redressais, courrais à en perdre halène vers le poste retranché. Je sautais, je rampais, arme à la main, sac au dos et bottes aux pieds. Pourtant bien entraîné, je sentais mon équipement lourd, peut être était-ce la peur de retrouvé mon capitaine gravement blessé ou bien encor mort. C'est à ce moment que je me vis pousser des ailes, je me cognais contre les arbres, me prenais les racines dans les pieds, tombais à plusieurs reprises, mais qu'importe je voulais revoir mon capitaine, même si cette fois était la dernière. J'arrivais enfin en arrière du poste retranché. Cet ici que je vis pour la dernière fois mon capitaine vivant, il avait sa jambes brûlée, son visage était méconnaissable, et l'avant bras lui manquait. Au même moment, un des gars qui nous couvrait cria :
    Grenade !

    Je fus projeté une seconde fois au sol cette fois mon épaule saignait, je m'appuyais contre un arbre j'aurais voulut appeler à l'aide mais ma gorge se noua ne laissant sortir aucun son, je me relevais tant bien que mal, essayant de rejoindre le Doc. Soudain, instinctivement je tournais la tête, j'étais hors de tranché, les buissons ne me couvraient plus, un soldat allemand pointa son arme sur moi, j'entendis une détonation, puis le noir et l'obscurité m'envahirent.
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    Message par Alexandra Jeu 18 Mar - 22:48

    Oui je me souviens de ton histoire et j'attendais la suite d'ailleurs... qui n'est jamais venu scratch
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    Message par Deserteaglenight Ven 19 Mar - 14:59

    xD oui javais laissé tombé, mais je m'y remet !
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    Message par Alexandra Sam 20 Mar - 22:55

    Tant mieux alors . Very Happy

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